Le Choix Segala (12, 81 et 82) et national.
Le 9 mars, accueil de la coprésidente du Choix Nathalie Andrews à Toulouse, avec des adhérents de la représentation Terre Cathare.
Le 10 mars interview à « Radio cordes », puis à « Radio albigès ».
Nathalie Andrews, comme coprésidente et moi, Jacqueline Salenson, pour le Segala, Michel Bouyssière préférant rester dans le studio, très intéressé par la technique !
https://www.cfmradio.fr/cine-debat-sur-la-fin-de-vie-ce-soir-a-albi
A 16h : quelques adhérents venus nous rejoindre ont visionné le film « Décédée, décidée » dans lequel on a suivi chaque jour en vidéo les rencontres d’une femme, au bout de sa vie, qui avait décidé du jour de sa mort, avec les membres de sa famille venus lui dire adieu.
Marie Godard, présidente du Comité d’honneur du Choix et l’une de ses fondatrices était avec nous et a participé au débat qui a suivi.
19h : le film à l’Athanor : « Tout s’est bien passé » …
Eh bien non, pas si facilement que çà, là encore le mourant qui a décidé de sa mort est serein, c’est la famille qui ne le comprend pas ou refuse de le comprendre.
Là encore, il informe sa famille au dernier moment…
La décision du mourant liée à sa philosophie de vie a été ignorée auparavant de sa famille…
On n’a pas suffisamment parlé de la mort en général et de la mort des anciens toute naturelle.
On n’a pas parlé à ses proches de ses idées concernant sa propre fin de vie.
Alors la surprise peut être dérangeante…
Durant le débat, une question revient, habituelle chez nos opposants : « avec une loi n’y aurait-il pas des dérives ? », sous-entendu ne va-ton pas tuer les vieux, les malades, les handicapés …
C’est le contraire.
Ces lois existent depuis une vingtaine d’années dans des pays proches de nous sans qu’il n’y ait inflation de demandes et encore moins de meurtres.
Les lois sont faites justement pour encadrer l’aide médicale à mourir et veiller à ce que ce soit bien la volonté du patient seule, réitérée, qui compte, ainsi que son état de santé incurable.
Actuellement avec les interdictions, il y a bien évidemment des euthanasies ou suicides assistés pratiqués clandestinement donc sans contrôles.