CONVENTION CITOYENNE,
COMMISSION PARLEMENTAIRE,
C’EST LE MOMENT D’AGIR !
LA VOIX DU CHOIX SUR LE PLAN POLITIQUE
Denis Labayle, co-président d’honneur du Choix, a été auditionné le 30 janvier 2023 dans le cadre de la Commission parlementaire d’évaluation de la loi Claeys-Leonetti, ainsi que Jonathan Denis, président de l’ADMD.
Denis Labayle a pu démontrer les insuffisances des indications de la loi, et les erreurs de la méthodologie d’application fixée dans le cadre rigide et éthiquement discutable, rédigé par la Haute Autorité de Santé (HAS) sous la dictée de la Société Française d’Accompagnement et des soins Palliatifs (SFAP).
Le livre de témoignage que l’association a réalisé a été envoyé à chaque député accompagnée d’une
lettre. Nous avons déjà quelques retours positifs.
L’envoi aux sénateurs est en cours.
Ce livre a également été adressé aux médias les plus importants.
Il est également en ligne pour vous, désormais téléchargeable :
Faites-le connaître autour de vous !
LA VOIX DU CHOIX C’EST AUSSI VOUS !
> PAR VOS TÉMOIGNAGES SUR LE SITE INTERNET DE LA CONVENTION CITOYENNE
Les participants à la Convention demandent depuis le début de leurs travaux à avoir des témoignages de terrain, de personnes malades ou de leur entourage, qu’ils n’ont toujours pas eus. Vous pouvez partager avec eux les expériences de fin de vie que vous avez vécues avec vos proches, expliquer pourquoi vous voulez un changement de la loi actuelle.
> PAR VOTRE PARTICIPATION À DES RÉUNIONS PUBLIQUES DANS VOTRE VILLE
Lors des réunions locales autour de la fin de vie : à l’initiative de députés, d’élus locaux ou d’associations, des débats sur la fin de vie se déroulent actuellement dans toutes les régions.
Renseignez-vous sur les réunions organisées près de chez vous et participez-y faire valoir nos arguments en faveur d’une nouvelle loi sur l’aide à mourir !
> CONSULTEZ NOTRE SITE POUR MIEUX RÉPONDRE AUX OPPOSANTS
Ainsi, à ceux qui mettent en avant de prétendus dysfonctionnements aux Pays-Bas, un chiffre interroge : les suicides des personnes âgées de plus de 85 ans sont proportionnellement deux à trois fois plus nombreux en France
qu’aux Pays-Bas.
Au lieu d’affoler inutilement l’opinion publique comme l’a de nouveau fait Théo Boer devant la Convention citoyenne sur la Fin de vie (ce qui a amené Le Choix à réagir) il serait plus judicieux de s’interroger sur cette réalité dramatique en France. Et d’entendre la demande de ceux qui demandent l’aide à mourir.
> DU CÔTÉ DE LA CONVENTION CITOYENNE SUR LA FIN DE VIE
Prenez connaissances de nos interventions auprès de la Convention Citoyenne et du document envoyé pour expliquer nos propositions.
En effet, notre association est intervenue une quatrième fois auprès du Comité de gouvernance pour demander que les membres de la convention puissent rencontrer des médecins favorables à l’aide médicale à mourir.
Alors que la Convention citoyenne sur la Fin de vie est à mi-parcours, un gros doute nous envahit : les citoyens disposent-ils des éléments nécessaires à une délibération éclairée ?
Car, parmi les intervenants invités à faire part de leur expérience personnelle et rencontrer les citoyens, ne figure aucun médecin favorable à l’aide active à mourir. Les citoyens ont entendu tout au long des sessions le même leitmotiv : « soigner n’est pas tuer », être médecin est incompatible avec le fait d’avoir un geste actif provoquant ou accélérant le décès.
Comment ignorer les voix des soignants de notre pays favorables à l’aide médicale à mourir, alors qu’ils viennent encore de signer une tribune dans le Monde « Nous, professionnels de santé, disons haut et fort que l’aide médicale à mourir est un soin » (lire la tribune sur le site du Monde – réservée aux abonnés) ? Et celles des soignants émettant des réserves sur le protocole de SPCJD (Sédation Profonde et Continue Jusqu’au Décès) et particulièrement l’arrêt de l’hydratation ?
MERCI DE VOTRE CONFIANCE ET DE VOTRE
ENGAGEMENT À NOS CÔTÉS !
Ne l’oubliez pas : ce combat est le vôtre !
Jacqueline Laurent & Annie Wallet
Co-présidentes