Dans les environnements professionnels dans lesquels elle a exercé des responsabilités dans le domaine des Ressources Humaines et de la Communication, Annie Wallet a toujours été attentive au respect des convictions personnelles de tous. Elle est pour cette raison membre du Comité Laïcité République, depuis de longues années.
Elle a vécu et participé aux combats qui ont permis aux femmes d’acquérir le droit de disposer de leur corps (Association La cause des femmes), d’exprimer leurs talents dans le monde du travail (Femmes et sciences, Women in nuclear ) et de développer leur autonomie sociale et politique (NPNS).
Elle est très attachée au respect de la liberté de conscience dans tous les actes importants de la vie, de la naissance à la mort .
Aujourd’hui , en France, en ce qui concerne la fin de vie , elle constate que les conditions ne sont pas encore réunies pour la prise en compte et le respect , dans leur diversité, des croyances religieuses et des positions agnostiques ou athées . Depuis la première loi proposée par le sénateur Henri Caillavet en 1978, elle estime qu’il n’y a pas eu de véritable progrès dans ce domaine.
La loi actuelle ,dans ses limites, crée une discrimination vis-à-vis de celles et ceux dont les valeurs personnelles les conduisent à vouloir choisir leur fin de vie . Cette loi constitue donc pour eux une violation de leur liberté de conscience.
C’est cette situation, et une plus grande disponibilité personnelle qui motivent aujourd’hui son engagement dans le collège décisionnel de l’association Le Choix.