L’ATTENTE SE PROLONGE, MAIS DES VOIX SE FONT ENTENDRE
Le projet de loi promis avant l’été se fait attendre, tandis que les articles de presse et les débats se poursuivent dans les médias.
- un collectif de médecins confirme que leur devoir « est d’accompagner les malades sans espoir de guérison »
Lire l’article sur le site du Choix
- Denis Labayle dans une tribune du Monde pose la question « Obliger un malade à vivre malgré son désir d’en finir, cela relève-t-il du soin ? »
Lire l’article sur le site du Choix
Deux articles importants pour rappeler le sens de l’aide active à mourir :
dernier geste médical compassionnel dans le respect de la liberté du malade.
Deux émissions de grande audience sont programmées la semaine prochaine le 26 septembre sur France 5
C dans l’air à 17h30 à laquelle est convié le docteur Denis Labayle, Co-président d’honneur de notre association.
Le documentaire de Marina Carrère d’Encausse sur la fin de vie sera présenté sur la même chaine à 21 heures. Il a été annoncé un peu partout, tant dans les médias que sur les réseaux sociaux.
Voir l’interview de Marina Carrère d’Encausse au 20h de France 2
RAPPEL : UNE DATE À BLOQUER DANS VOTRE AGENDA
LE 2 DÉCEMBRE : RÉUNION ANNUELLE À ISSY LES MOULINEAUX
Les grandes lignes du programme :
La matinée : Assemblée générale des adhérents.
- Rapport moral et financier.
- Parole aux régions.
- Communication des résultats de l’enquête en cours auprès de nos adhérents et sympathisants
Si vous ne l’avez pas encore fait cliquez ici pour répondre au questionnaire - Assemblée générale extraordinaire pour le vote d’une mise à jour de nos statuts (texte envoyé le 2 octobre.)
- Exposé de notre projet de loi destiné aux députés et sénateurs. (A lire sur le site du Choix)
L’après-midi : Quatre conférence-débats avec
Le Docteur Denis Labayle
Auteur du livre « Le médecin, la liberté et la mort » et co-président d’honneur du Choix
« Pourquoi l’aide active à mourir est un soin »
Jean Jacques Bise
Co-président Exit Suisse Romande
« Rôle des médecins en Suisse dans la pratique du suicide assisté (ou mort volontaire assistée) »
Loren Arseguet
Membre du bureau exécutif de l’AFMD (association espagnole)
« La loi espagnole : les écueils à éviter pour la future loi française »
Martine Lombard
Professeur émérite de droit public, auteure du livre « L’ultime demande »
« Importance de l’arrêt du 4 octobre 2022 de la CEDH (Cour européenne des droits de l’homme). Incidence sur la future loi française sur l’aide active à mourir. »
PRÉPARER LA RÉFORME DE LA LOI : UN DES OBJECTIFS DE LA COMMISSION MÉDICALE DE L’ASSOCIATION
Dès à présent, elle a élaboré une réforme radicale de la Sédation profonde et continue, pour offrir enfin aux malades atteints d’affections graves et incurables une agonie humaine, c’est-à-dire « brève et indolore »
Deux mots absents de la loi de 2016 et du texte d’application de la Haute autorité de santé. Ce nouveau protocole s’adresse aux patients qui ne souhaitent pas bénéficier de l’Aide active à mourir par injection létale. Il repose sur le refus de la déshydratation du corps, et sur l’élévation rapide des doses de sédatifs et de morphiniques afin d’obtenir une agonie de moins de 24 heures. Ce protocole mis au point par dix médecins de la commission a été transmis à la Ministre Madame Firmin Le Bodo.
La commission prépare un programme de formation destiné aux soignants pour leur permettre d’exercer au mieux leur rôle face aux malades atteints d’affections graves et incurables. Un enseignement basé sur le respect du choix des malades.
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