Un livre à lire absolument,
Un livre pour mieux comprendre les enjeux de cette loi
Un livre qui donne la parole aux familles des victimes de la Loi Claeys-Leonetti
Tout est parti des nombreux témoignages de famille que nous recevons. Nous en avons sélectionnés quarante pour illustrer la diversité des souffrances endurées.
Cette loi au titre prometteur pour nombre de malades ( sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès), a été suivie d’un texte d’application rédigé par la Haute Autorité de Santé sous l’influence claire de la Société Française d’Accompagnement et de soins Palliatifs (SFAP).
L’ensemble a abouti à une loi rigide, insuffisante dans ses indications, éthiquement discutable dans sa méthodologie. Nous en faisons l’analyse et précisons, à cette occasion, les propositions de l’association pour notre fin de vie.
Initialement nous avions envisagé de publier un simple fascicule, nous en avons fait un livre.
Nous l’avons envoyé gratuitement aux 577 député(e)s et aux 348 sénateurs et sénatrices, ainsi qu’à une cinquantaine de médias (presse, radio, télévision…)
Il est en vente au prix de 10 euros mais, comme nous souhaitons qu’un maximum de personnes le lisent, voilà … nous vous offrons sa présentation en PDF.
Nous remercions tous les membres de notre association qui ont participé à sa rédaction.
Bonne lecture.
Annie Wallet et Jacqueline Laurent…..
Notre livre : Loi Claeys-Léonetti. Ses erreurs et ses Insuffisances
MERCI de me prévenir d’une prochaine participation
j’ai bientôt 86 ans le 8 janvier 2024 et ne veux ni être manipulée ni perdre mon autonomie
bien à vous
Je me demande pour quelle (s) raison(s), le gouvernement a choisi de proposer aux parlementaires 2 projets de loi séparés, l’un sur l’aide à mourir et l’autre sur les soins palliatifs ?
Bonjour Madame, vous avez raison de vous interroger…Le gouvernement actuel est fort conservateur et c’est l’actuel Premier ministre, Monsieur Bayrou, qui l’a exigé ! De plus, les soins palliatifs ne se développeront pas grâce au vote d’une loi, les moyens financiers ne suffisent pas, il y a un grand manque de soignants et de lits en milieu hospitalier.