Gilles Prilleux

REPRÉSENTANT LOCAL – Seine-et-Marne

Très tôt, j’ai été confronté à des fins de vie douloureuses. Le plus souvent, je me suis retrouvé impuissant pour faire entendre le souhait de mes proches de mourir dignement et sans souffrances inutiles. Il y a quelques années, j’ai aidé ma tante atteinte de la maladie de Parkinson à se rendre en Suisse pour partir comme elle le souhaitait. Comme une majorité de français, je suis dans l’attente d’une loi qui permette à tous de choisir librement sa mort. C’est la raison pour laquelle je milite activement dans l’association Le Choix dont la structure fédérale et démocratique correspond à mes principes.