L’Institut colombien de la douleur, s’est conformé à l’ordre d’appliquer la procédure à cette femme qui faisait face à une maladie grave, même si elle n’était pas en phase terminale.
Son fils et d’une nièce étaient près d’elle.
L’affaire est devenue d’importance nationale en devenant la première patiente atteinte d’une maladie non terminale à être acceptée pour la procédure, après que la Cour a élargi la réglementation de l’accès à une mort digne en Colombie.
Mais elle n’a pas été la première patiente à recevoir cette procédure après que l’IPS a soudainement décidé de l’annuler.
L’acte était prévu à l’origine pour le 10 octobre 2021, mais un frein avait été mis générant un débat national.
« Accorder une protection constitutionnelle pour la protection des droits fondamentaux de mourir dans la dignité, une vie digne, le libre développement de la personnalité et de la dignité humaine », que l’IPS Instituto Colombiano del Dolor SAS a violé enversMme Martha Liria Sepúlveda Campo, raison pour laquelle l’IPS susmentionné est condamné à se conformer aux dispositions du comité scientifique interdisciplinaire de mourir dans la dignité, dans le procès-verbal émis le 6 août de cette année, au moyen duquel le tuteur est informé et reconnu , qui répond aux exigences de exercer leur droit de mourir dans la dignité par l’euthanasie tel qu’établi par la jurisprudence », a déclaré la décision.
Source :
« News.dayfr.com » 08.01.22