Pour la troisième fois en deux ans, le Parlement, à majorité socialiste, a voté hier en faveur d’une dépénalisation de la « mort médicalement assistée », sous réserve que le patient soit en mesure d’exprimer clairement sa volonté et souffre d’une maladie incurable. Reste à savoir si le président conservateur Marcelo Rebelo de Sousa, fervent catholique,promulguera la loi.
Il a déjà refusé à deux reprises, exigeant une réécriture du texte.
Source :
« Ouest-France – 10.12.22