Dans ma famille et par mon métier (médecin), j’ai été confrontée à la difficulté à « survivre » dans certaines conditions. En France la loi actuelle doit être respectée quant à la possibilité de « mieux mourir » si on le souhaite. Et nous avons surtout besoin d’être nombreux à nous battre pour obtenir le droit de mourir librement, c’est-à-dire la légalisation de l’aide médicale à mourir.