Dans les environnements professionnels dans lesquels elle a exercé  des responsabilités dans le domaine des Ressources Humaines et de la Communication, Annie Wallet  a toujours été attentive  au respect des convictions  confessionnelles et spirituelles de chacun.  Elle est pour cette raison membre du Comité Laïcité République, depuis de longues années.

Elle a vécu et participé aux  combats qui ont permis aux femmes d’acquérir le droit de disposer de leur corps (Association La cause des femmes), d’exprimer leurs talents  dans le monde  du travail (Femmes et sciences) et de développer leur autonomie sociale et politique.

Elle est très attachée au respect de la liberté de conscience dans tous les actes importants de la vie, de la naissance à la mort,c’est pour elle  un véritable  marqueur d’une société authentiquement  démocratique.

Elle constate que les conditions ne sont pas encore réunies pour la prise en compte et le respect, dans leur diversité, des croyances religieuses et des positions agnostiques ou athées en ce qui concerne la fin de vie. Depuis la première loi proposée par le sénateur Henri Caillavet en 1978, elle estime qu’il n’y a pas eu de véritable progrès dans  ce domaine. L’agonie de sa mère lui en a apportée la dramatique confirmation.

C’est cette  situation, et une plus grande disponibilité personnelle qui motivent  aujourd’hui son engagement  dans le collège décisionnel de l’association et sur le terrain dans la région où  elle réside.