En témoignant de la mort douloureuse de son père, le député maltais Daniel Jose Micallef réfléchit à ce qu’il souhaite comme mort.
Le premier ministre Robert Abela, lui, appuie une discussion au niveau national sur l’euthanasie.
Alors que le député Micallef s’inquiète à l’idée que cette discussion soit politisée « …la manière dont une personne va passer ses dernières heures ne devrait pas être à la merci de la morale médicale »
Une enquête de 2016 concluait qu’en l’absence de directives, les médecins maltais se servaient de la religion et de leur propre philosophie pour prendre des décisions liées à la fin de vie.
Pour environ un médecin sur deux , la religion est un point très important dans les décisions qu’ils ont prises à ce moment-là.
Sur base de ces résultats, Micallef estime qu’il serait préférable pour les médecins et les patients d’avoir un cadre législatif qui protège chacun d’eux.
Source :
« Times of Malta » par Kristina Abela – 20.01.21