Docteur en biologie, spécialisée en génétique, Jacqueline a travaillé dans l’enseignement supérieur et la recherche scientifique.
A l’adolescence, elle a été confrontée aux impacts négatifs des non-dits en général et, plus particulièrement à l’approche de la mort. En tant que scientifique, elle regrette les déviations liées aux « progrès » de la médecine qui conduisent trop souvent à médicaliser la naissance ou à prolonger des personnes dans un état tel que leur vie n’a plus guère de sens. Elle refuse cette condamnation à une vie artificielle, elle dénonce la ‘peine de vie’ comme elle a dénoncé la peine de mort. Elle revendique la liberté pour chacun de pouvoir bénéficier, au moment voulu, décidé par soi-même, d’un accès à des soins palliatifs si nécessaire et/ou à une aide médicale à mourir (euthanasie ou suicide assisté), elle veut pouvoir exiger que ses directives anticipées ne soient pas considérées comme ‘inappropriées’ mais plutôt comme une demande de libération non conditionnelle.

La loi actuelle ne prend pas en compte ce type de demandes : la loi doit changer !

2 commentaires

  1. Bonjour
    Je me permets de vous ecrire aujourd’hui pour avoir des precision’s sur le role que vous pouvez ecxercer sur une demande de suicide assiste en Suisse . En effet je suis en reflexion depuis des annees ayant milite tout d’abord avec L’ADMD puis j’ai rejoins l’association le Choix lors de sa creation ,votre approche correspont davantage a mes attentes
    J’e ne sais pas si je peux vous decrire ce que je vis maintenant et avoir votre avis
    Merci de me lire
    Mes pensees les plus chaleureuses

    Yvonne Coupa

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