Membre militant de l’association « le Choix, Citoyens pour une mort choisie » depuis sa création en 2018

J’ai rencontré le Dr Denis Labayle lors d’une conférence à Sète en 2009 suite à la sortie de son livre « Pitié pour les hommes ». Une rencontre décisive pour moi avec celle du Dr Senet qui m’a toujours accompagnée. Une alliance indispensable avec de tels médecins pour que nos demandes d’aide médicale pour mourir selon notre volonté puissent être respectées dans l’avenir avec l’appui de lois nouvelles, y compris demandes d’euthanasie.

Militante depuis 2004 pour de meilleures fins de vie pour tous, dans le respect et la considération de la philosophie de vie de chacun :

  • Pour que chaque citoyen majeur exprime et écrive ses directives anticipées pour sa fin de vie, selon ses idées, indépendamment de la loi actuelle, susceptible de changer,.

  • Pour que ces directives – testament de vie – soient absolument respectées par le système médical : il faut changer les lois.

Représentante des usagers à l’hôpital de 2008 à 2013

3 commentaires

  1. Fin de vie : Michel Barnier se penche sur le calendrier de reprise des débats
    Si tous les projecteurs sont tournés vers le budget, le premier ministre n’oublie pas la question de la fin de vie.

    Stoppé net par la dissolution, l’avenir du projet de loi sur la fin de vie semblait incertain, l’été dernier. Depuis, la nomination de Michel Barnier à Matignon a rouvert quelques perspectives. Le premier ministre entend avancer.
    « Il n’y a pas une semaine où Michel Barnier ne fait pas un point sur la fin de vie », confie à publicsenat.fr un membre du gouvernement. « Il a consulté les présidents des groupes du socle commun, pour savoir quel est le meilleur calendrier d’inscription », ajoute ce ministre, qui l’assure, pour ceux qui en doutaient :
     C’est vraiment une préoccupation pour le premier ministre. ( Un ministre) .

    Sa première déclaration, lors de son discours de politique générale, le 1er octobre, avait fait pourtant réagir les défenseurs du texte. « Nous allons reprendre le dialogue avec vous, avec le Sénat, avec les soignants et les associations en début d’année prochaine sur le projet de loi dont l’examen a été interrompu par la dissolution », avait-il annoncé. « Il ne s’agit pas de rouvrir un dialogue au début de l’année 2025, nous devons reprendre l’examen du texte là où nous l’avons interrompu », avait réagi le 2 octobre la présidente Renaissance de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet. Message vite entendu par le premier ministre. Le lendemain, sur France 2, Michel Barnier précisait sa pensée : « Je suis favorable à reprendre le travail au moment où il a été interrompu. Il y a eu beaucoup d’amendements – je ne suis pas forcément d’accord avec tous – le Sénat aussi doit participer à ce travail », soutenait Michel Barnier. S’il ne comptait pas repartir de zéro, c’était clairement « pour gagner du temps », ajoutait le premier ministre.

    Concertations « d’ici la fin de l’année »
    Du côté de Matignon, on rappelle aujourd’hui que « comme cela a été dit lors du discours de politique générale par le premier ministre, il y a effectivement la volonté de reprendre le dialogue avec les parlementaires, les associations et les soignants sur le projet de loi dont l’examen a été interrompu par la dissolution », souligne-t-on. Et d’ajouter que « les concertations auront lieu d’ici la fin de l’année », ce qui semble exclure une arrivée trop rapide du texte.
    Si certains ne seraient pas contre que le gouvernement prenne son temps, il y aura bien un texte, sous une forme ou sous une autre. Reste à voir quel sera le « véhicule législatif » choisi : soit un projet de loi, c’est-à-dire un texte d’origine gouvernemental, soit une proposition de loi (PPL), c’est-à-dire un texte d’origine parlementaire. Or il existe déjà une PPL, celle du député Olivier Falorni, qui était le rapporteur général de la commission spéciale qui avait examiné le projet de loi à l’Assemblée. Sa proposition de loi transpartisane, déposée dès juillet dernier, reprend le texte, tel qu’amendé par les députés. Partir du texte du député apparenté Modem de Charente-Maritime permettrait peut-être, justement, de « gagner du temps ». Yaël Braun-Pivet avait proposé d’inscrire la PPL Falorni à l’agenda de l’Assemblée la semaine du 2 décembre 2024.

    Source Sur Public Sénat
    Par François Vignal Publié le 31/10/2024

    • En effet le député Olivier Falorni a repris dans sa proposition de loi le texte déposé le 18 mai et l’a fait signé par (aujourd’hui) 222 députés.
      Nous travaillons sur ce texte pour pouvoir fournir aux députés que nous rencontrons un argumentaire qui défende nos convictions (exemple : remettre les directives anticipées dans la partie aide à mourir d’où elles ont totalement disparues et surtout les rendre opposables)
      Nous proposons à nos adhérents d’écrire à leur député pour obtenir le vote de cette loi que 75% de la population demande et qu’avaient bien montré les conclusions de la convention citoyenne.
      Merci pour votre marque d’intérêt. Nous sommes en recherche de membres actifs dans les différentes régions de France. Cela vous intéresserait-il ?
      Vous pouvez me contacter au 06 074 27 55 96 ou c.calmat.lechoix@gmail.com
      Cordialement
      Chantal Calmat
      Coprésidente.

  2. Le texte sur la fin de vie examiné à l’Assemblée à partir de fin janvier 2025 ( AFP )
    Le texte sur la fin de vie sera examiné à l’Assemblée nationale à partir du 27 janvier 2025, ont annoncé mardi 5 novembre 2024 le gouvernement et la présidente de la chambre basse, Yaël Braun-Pivet.

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