J’étais seul à représenter Le Choix et 16 personnes se sont entretenues avec moi. Parmi lesquelles, 10 ont consenti à laisser leurs coordonnées. Ne veulent pas être importunées, disent qu’elles nous contacteront, acceptent volontiers le flyer de l’association.
Deux nouvelles cotisations ont été enregistrées.
Beaucoup de gens ignorent tout des Directives anticipées. La présentation de la photocopie du formulaire est très utile à cet égard.
Une question m’est posée (*), à laquelle je ne peux donner la moindre réponse : peut-on disposer, en vue d’une réimplantation, des organes de quelqu’un qui a été euthanasié ?
Un très vif débat avec une femme entièrement acquise à notre lutte, qui s’affiche ardemment zémmourienne.
Gilbert Cabasso Coreprésentant
(*) Voici la réponse : rien ne s’oppose au don d’organes post mortem en cas d’euthanasie (aide médicale à mourir), tout dépend de la pathologie dont souffrait le donneur. Cependant, il est évident que l’euthanasie sera pratiquée en hôpital, le prélèvement devant avoir lieu entre 2 et 5 minutes après la constatation du décès. L’équipe qui réalise le prélèvement est nécessairement différente de celle qui pratique l’euthanasie.
N.A.