A mon grand-père
A mon grand-père Je vois encore tes yeux sur ton lit d’hôpital Ton corps qui fout le camp par la fièvre et le mal Je vois encore tes mains qui se crispent ou s’apaisent Suivant le rythme vain de la vie qui s’achève Mais, comment sans un cri, as-tu pu supporter Nos paroles…