Ce 20 janvier 2015, une autre amie bruxelloise a aussi pu partir au moment où elle le souhaitait, c’est-à-dire avant que ses pathologies ne deviennent trop douloureuses et invalidantes, voici son dernier courriel, aucune tristesse, mais un réel apaisement !
« Merci pour nos rires, notre humour parfois caustique, merci pour tous ces bons moments que nous avons partagés. (Oui, je sais c’est d’une banalité… mais !!!). Demain, je m’envole, c’est mon choix et j’ai hâte ».